Initiation à la maison

 

D’un instant à l’autre : à destination des débutants
retrouvez gratuitement des méditations guidées courtes et les indications pour pratiquer la pleine conscience.
Si vous souhaitez des renseignements complémentaires, vous pouvez me contacter à :
bretagne.meditation@gmail.com

En accès :
définition de la pleine conscience (3 min) :



ici et maintenant (7min30) :



initiation 1 (5min20) :



pleine conscience de la respiration (7 min) :

 

Attention sur les sens la vue et l’audition : travailler les automatismes (6min07) :

 

 

Recommandations pour la pratique

La méditation de pleine conscience est parfois pratiquée dans un but « thérapeutique », ou dans une recherche de bien-être (voir méditation de pleine conscience, un outil pour prendre soin de soi).
Toutefois, comme toute stratégie à visée thérapeutique, cette pratique nécessite un « cadre » (enseignant, recommandation d’un professionnel de santé).
La méditation de pleine conscience se pratique sur une durée variée et optimale propre à chacun. De quelques minutes elle peut être allongée à 20 minutes (en pratique formelle) voire plus ; Les études scientifiques reconnaissent qu’une pratique quotidienne de 20 minutes permet de ressentir des bénéfices (qualité du sommeil, gestion des émotions, niveau de stress par exemple). Cette pratique peut être plus longue à condition qu’elle reste bénéfique pour le méditant. Pour d’autres, augmenter cette durée peut entraîner de l’inconfort psychique (apparition d’une anxiété, d’une indifférence affective, tristesse, mal-être) ou physique, car la posture traditionnelle assise (sur un coussin ou un banc) n’est pas forcément adaptée aux personnes portant une prothèse (hanche, genou) ou souffrant de douleurs (dorsales, cervicales…).

Dans tous les cas et comme toute nouvelle pratique, il faut être prudent et observer les effets sur le corps et le psychisme. Il existe des contre-indications à la pratique de la méditation de pleine conscience, comme certaines affections psychiques (addictions graves, syndrome dépressif aigu, ou autres troubles psychiques importants nécessitant un traitement médicamenteux).
Ainsi, si vous souhaitez démarrer une pratique de la méditation et si vous avez un doute sur les effets de cette pratique, je vous invite à évoquer votre démarche auprès des professionnels de santé qui vous accompagnent, les médecins et psychologues étant aujourd’hui bien informés sur les bénéfices et effets secondaires de cet exercice.
N’hésitez pas à vous faire accompagner dans cet apprentissage par un enseignant formé à la santé psychique (médecins spécialisés, psychologues). Enfin, il faut rappeler que cette pratique ne se substitue pas aux traitements médicamenteux ni aux psychothérapies ; cette pratique peut être considérée comme un outil pour prendre soin de soi, en complément de votre accompagnement général.

En complément : « Sciences et Avenir, Neurosciences et méditation, avec le Pr. Steven Laureys », janvier 2020.